Haïti: Une nature dans une éventualité d’irritation
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Le quotidien touche perpétuellement le désespoir. Le noir ne fait que remonter à la surface interdite. Le stress, la peur sont les principales lois régissant la routine Haïtienne. Le cauchemar patriotique s’y apparaît dans notre devise. L’idéalisme de l’Haïtienneté est réduit en s’abritant en terre étrangère.
Plus de 200 ans, depuis qu’un système conflictuel marginalise le destin des opprimés. Une catégorie insignifiante détient les richesses en leur possession. Une classe moyenne, pratiquement inexistante. Le pays est doté d’une classe politique prédateur, d’un système étatique qui est drastiquement captiver, et denuer de son autorité, une jeunesse prise dans l’empirisme du désespoir, un système éducatif asperger par l’incohérence et l’incompétence préjudicieuse.
Face à cette chronique situation, d’ou la nature, qui est l’instance tranchante, reste comme assistante de cette descente continuelle au enfers. Imaginons si la nature se fait irriter, qu’en sera-t-il pour les buveurs de sang et les jouisseurs de ce système ? Bien peut-être ils sont dépourvus de la conscience humaine. Ils n’ont jamais mis en question la nature, qui a le pouvoir de tout vandaliser, le pouvoir de mettre le haut vers le bas, la droite vers la gauche, le beau vers le laid, les oppresseurs vers les opprimés, les privilégiés vers les malheureux. Hélas…………
Cette nature si douce, peut-être fâcheuse, peut jouer la mélodie de la malédiction, dans le tympan des méchants du système et symphoniser leurs partitions en une trouble psychique, à cause de leur inconscience de la conscience.
Travaillons pour le collectif, et non l’individualisme, pour respirer l’air de l’humanisme, cet air est l’image emblématique de l’universalité. Conscientisons nous pour l’échappement d’une nature en bouleverse et périlleuse.
Mon corps aux Chiens,mon âme à
Dieu,mon coeur à mon peuple et ma plume à ma conscience. Par Stael Jean, Juriste et Journaliste
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Tous droits réservés, 15 mai 2023.
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